Ouvert en septembre 2013, le site de conseil en procédure civile - et son blog - revendique fièrement une fréquentation de plus de 50 000 visiteurs uniques depuis sa mise en ligne sur le web, avec environ 6 000 internautes - à 500 près - qui se perdent chaque mois sur le blog, et près de 130 000 pages vues. Bref, pour de la procédure civile, matière qui n'intéresse pas tout le monde, loin s'en faut, nous ne sommes pas mécontents. Mais il a été constaté que le nom de domaine conseil-en-procedure.fr n'était pas bien... pas par nous, bien évidemment, mais par qui est autorisé à en juger.
Bon, qu'à cela ne tienne, ce ne sera pas une grosse révolution, mais nous avons ouvert un autre nom de domaine, de telle sorte que le sigle du cabinet figure désormais dans l'adresse.
C'est pô grave. Juste un peu de temps à prendre pour faire les modifications techniques auprès de notre hébergeur OVH*, et pour modifier les documents qui émanent du cabinet (signatures, papier entête, etc.).
le site de conseil en procédure civile est désormais sur... (roulement de tambours)... GL-conseil-en-procedure.fr !
C'est tout de suite beaucoup mieux, et je pense que la profession s'en portera bien mieux. Nous nous réjouissons donc d'y avoir participé.
Mais ça ne change rien, et nous continuerons d'alimenter notre blog de procédure civile afin que vous puissiez continuer à y trouver ce que vous venez y chercher.
* Rappelons à cet égard que les mentions légales, imposées par la Loi pour la Confiance dans l'Economie Numérique (article 6 de la LCEN), de 2004, permettent à toute personne s'estimant victime d'écrits figurant sur un site internet de s’adresser notamment à l’hébergeur à défaut de s'adresser à l’auteur. Par conséquent, le nom de l'hébergeur - ainsi que son adresse, sa raison sociale - est indispensable, sur tout site en ligne. A défaut, l'internaute n'a personne à qui s'adresser en cas de problèmes, et ça, ça craint.
Il s'agit d'une infraction pénale très lourde puisque sanctionnée par un an d'emprisonnement et 75 000 euros d'amendes (quand même !). Et ne comptez pas sur le cabinet pour vous défendre, car nous ne touchons pas à la matière pénale.
Or, de trop nombreux sites professionnels ne comportent pas toutes les mentions légales, ou de manière incomplète, lorsque ces mentions ne sont pas purement et simplement absentes.
Alors, je me permets un conseil : faites donc un tour du côté des mention légales de votre site internet pour vérifier que tout est OK.